Des courses ^^ [PV : Mackenzy Tamaya]

Makoto marchait dans les rues de Shinai. Il était parti de sa maison voilà une demi-dizaine de minutes, et à une petite cinquantaine de mètres se trouvait le Convini. C'était l'avantage d'habiter ce genre de lotissement, de banlieue, de ville, d'habiter Shinai, quoi, parce qu'on était à proximité de tout, et c'était un petit paradis terrestre.

Koto poussa la porte du petit magasin et entra. Il n'osa pas dire bonjour aux personnes qui travaillaient là, tellement il était timide. Il prit un petit panier à l'entrée, et regarda les aliments. Il choisit quelques trucs qu'il posa avec délicatesse dans le panier.

Makoto se déplaça dans un autre rayon, où un jeune employé travaillait. Lorsque ce dernier le vit, il prit ce qu'il avait à la main et le dévisagea d'un drôle d'air. Il partit rapidement, comme apeuré par Koto, qui n'était pourtant pas très grand, mais comme à la base le gars travaillait sur l'étage du bas, Makoto avait l'air plutôt imposant, avec son look et ses chaussures à semelles compensées. L'employé était donc partit, et notre grand timide se retrouvait seul dans le rayon. Il regardait les sushis avec envie, se demandant s'il en prenait ou pas. Se mordillant la lèvre inférieure. En fait, Makoto n'aimait pas manger toujours la même chose. Mais avec les sushis, c'était différent. Il pouvait en manger trois fois par semaine, ça ne lui posait aucun problème. Cela faisait maintenant plus d'une minute que Koto s'était redressé, une barquette à la main, regardant un coup les sushis, un coup le panier, qui contenait déjà trois ou quatre articles. Il finit par mettre la nourriture avec les autres. C'était de l'excès de zèle. Ca ferait quatre fois cette semaine qu'il mangerait des sushis.

Il prit aussi quelques onigiri, prit du thé, prit toutes sortes de choses, et, alors qu'il s'approchait de la caisse pour régler, il se souvint qu'il avait cassé sa dernière paire de baguettes, et qu'il fallait qu'il en rachète. Il fit donc demi-tour et chercha dans tous les rayons les baguettes. Mais il ne s'était pas rendu compte qu'elles étaient dans le rayon où il se trouvait, mais qu'un garçon était devant. Makoto n'osa pas lui demander de se décaler. Alors il se pencha pour essayer de les attraper, mais elles étaient au fond, et il n'arriva pas à les choper. Il tenta de parler. Dans sa tête, il se disait qu'il fallait qu'il lui demande de se pousser. Mais il n'y arrivait pas. La seule chose qu'il réussit à faire, qui était au comble de sa maladresse avec les gens, fut de le pousser un peu en disant, sur un ton froid :

"Dégage."

Pourtant, Koto n'avait pas voulu être méchant ou quoi que ce soit. Mais il ne savait jamais comment s'y prendre, et des fois, il parlait n'importe comment aux inconnus, et pouvait être violents. Après cela, il put prendre ses baguettes et les mettre dans son panier. Il regarda ensuite le jeune homme à côté de lui. Il faisait à peu près sa taille et était plutôt mignon. Le genre de garçon à qui on a envire d'attraper les joues et de faire : "Mais c'est qu'il est meugnon le petit !". M'enfin, c'était pas le genre de kif de Makoto, qui resta planté là, essayant de s'excuser, mais n'arrivant qu'à s'incliner légèrement et à partir vers la caisse d'un pas un peu plus rapide.

Nous étions jeudi, soit le jour des courses pour la famille de Mackenzy…Mais ses parents s’étaient absentés pour le week end, donc pour une fois c’était à lui d’y aller. Le jeune homme n’était pas vraiment content, l’idée de devoir sortir dans un endroit où il y avait du monde lui faisant un peu froid dans le dos. Sans savoir pourquoi il n’aimait pas rencontrer beaucoup de gens à la fois, parce qu’il se demandait toujours si une des personnes présente ne savait pas qui il était vraiment…De plus le temps du jour était assez mauvais, étant donné qu’il y avait de grands nuages noirs qui couvraient le ciel. L’adolescent avait chercher un peu partout un parapluie mais ne s’était pas rappelé où il avait ranger le sien…

C’était donc sans qu’il était sortit de chez lui, habillé tout en noir et rouge, des chaussures(rouges) aux ongles(noirs), avec un petit panier en osier que sa mère lui avait donné avant de partir. Tandis qu’il marchait tranquillement dans les rues, il se demandait s’il ne pourrait pas tenter de fouiller dans les affaires de ses parents, histoire de vérifier certaines choses sur son passé, mais il n’ignorait pas que la punition qu’il aurait si jamais les deux adultes s’en apercevaient, serait lourde en conséquences…

Forçant un sourire sur son visage triste, il entra alors dans le Convini, tout en faisant de son mieux pour paraître aussi joyeux que d’habitude. La dernière fois qu’il était allé lui-même en courses devait remonter à pas mal de temps, et il ne se rappelait plus où les articles étaient rangés. Il fallut donc un certain temps à Mackenzy pour trouver les articles dont il avait besoin. Le plus pénible fut d’atteindre une boîte de biscuits qui se trouvait dans un des plus hauts rayonnages. Du haut de son mètre soixante, l’adolescent dut sauter à pieds joints plusieurs fois avant de réussir à attraper l’objet qu’il désirait…Une fois que cela fut fait, il relisa deux fois la liste de sa mère tout en vérifiant que tout était dans le panier du même coup. Il avait oublier les baguettes, mais après qu’il les aurait acheté ses courses seraient finies.

Le jeune homme se rendit donc jusqu'à l’endroit où était posés les baguettes, tout en ne sachant pas vraiment lesquelles prendre…N’aimant pas trop les baguettes simples, il préférait celles qui avaient des motifs, même si elles coûtaient bien plus chère. Alors qu’il était en plein dilemme entre deux types de baguettes, une voix froide lui ordonna de ‘dégager’. Sursautant comme un gamin prit en faute, l’adolescent se mit sur le côté à la vitesse de l’éclair sans rien dire. Il n’était pas rare que les gens s’adressent à lui froidement, alors qu’il ne faisait jamais rien de mal à leur encontre…Observant que l’homme à ses côtés s’inclinait très légèrement avant de repartir, lui resta là, sans rien dire.

Les larmes commençaient à lui monter aux yeux tendit qu’il songeait amèrement qu’il embêtait vraiment tout le monde. C’était d’ailleurs exactement ce que sa mère lui avait dit avant de partir ‘Et pour une fois, reste bien sagement à la maison et arrête de nous donner tant de soucis !’. Secouant vivement la tête de droite à gauche pour chasser ses mauvaises pensées, Mackenzy prit des baguettes au hasard et se rendit dans la caisse, tandis que ses yeux étaient toujours emplis de larmes qui semblaient sur le point de se déverser à flot sur ses joues pâles, ce qui aurait été assez pénible étant donné qu’il avait mit du noir autour de ses yeux gris ce matin là u_u…

Il partit vers la caisse à son tour et s’aperçut que devant lui, il y avait l’homme qu’il venait de croiser. N’arrivant plus à sourire, il trouva très intéressant de se lancer dans l’observation de ses converses rouges qui commençaient à avoir besoin d’un bon lavage d’ailleurs. Au bout d’environ une minute, n’y tenant plus, il regarda l’homme devant lui et lâcha une phrase dites plutôt rapidement, tout en se retenant de pleurer(émotif celui là u_u) :

« Excusez moi pour tout à l’heure, je voulais vraiment pas vous dérangez, je peux payer vos courses pour me faire pardonner, excusez moi…»

Il avait parlé d’une voix assez basse malgré un éclat de tristesse très facilement identifiable dans ce qu’il disait. Il attendit une réponse de la part de l’autre personne, tandis qu’une larme coulait doucement sur le long de sa joue. Le remarquant, il l’effaça rapidement avec le dos de sa main, un peu gêné de toujours se comporter aussi étrangement.

Les aliments de Makoto passaient sur le tapis roulant de la caisse, et lorsque les sushis passèrent entre les doigts de la caissière, qui était fort mignonne, avec ses cheveux décolorés et ses lentilles bleues, le jeune homme eut un petit soupir d'apaisement en se disant qu'il partagerait ces sushis avec son petit frère bien aimé, Shuji.

Le garçon qu'il avait renvoyé chier froidement tout à l'heure en lui disant "dégage" commença à lui parler, rapidement. Makoto se tourna vers lui. Il avait les yeux pleins de larmes. Et Koto ne savait plus où se mettre. Il rangeait ses courses dans des sacs plastiques tout en le regardant fixement. Il avait été maladroit avec lui, et sa timidité et son introversion l'avaient empêché de s'excuser. Donc là, il était totalement embêté, parce qu'un garçon mimi comme tout menaçait de pleurer, devant lui, s'excusant et proposant de payer les courses de Koto... Alors qu'il n'avait rien fait.

Makoto prit alors une montée de stress. Il ne savait pas quoi dire, et en plus, un savon venait de passer sur le tapis roulant, lui rappelant son hygiène des mains. Partagé entre le garçon et ses mains, Koto stressait réellement. Il fit un signe de la tête pour dire non au garçon, s'inclina encore, paya si rapidement ses courses qu'il en laissa tomer un billet de cent Yens et sortit en courant dans la rue. Par chance, non loin du Convini se trouvait une fontaine d'eau potable. Makoto lâcha ses sacs juste devant, prit le savon, l'enleva du plastique et commença à se laver les mains dans l'eau, à frotter fort, fort, et en y vouant une attention sans relâche. Il était concentré, lorsqu'il se lavait les mains, et personne ne pouvait l'empêcher de le faire.

Au bout de quelques minutes il se rinça les mains et les regarda, un sourire béat posé sur ses lèvres, comme un enfant de cinq ans lorsqu'il ouvre ses cadeaux de Noël et découvre qu'il a eu son ActionMan ou ses Legos, ou bref, ce qu'il voulait. Makoto remit le savon dans son plastique, tentant de ne pas le faire glisser. Il revint vers le Convini, attendant le garçon. Il comptait s'excuser, ou du moins lui faire comprendre qu'il n'avait rien à se reprocher, et qu'il n'avait pas de raisons de pleurer.

Bon, l’attitude de l’homme était un peu étrange(voir même beaucoup u_u), et Mackenzy le regarda partir presque comme si le magasin était en feu un peu étonné. Prit dans ses pensées à propos de cet inconnu étrange, la voix de la jeune femme qui tenait la caisse le sortit de ses pensées. Lui sortant son plus beau sourire de gamin et chassa rapidement les larmes qui se formaient aux coins de ses yeux du revers de sa main, il commença à poser ses articles et à regarder la somme qui s’affichait en chiffres analogiques sur la caisse. Vérifiant l’argent qu’il avait dans son porte-feuille, il constata avec un léger soulagement qu’il lui restait 500 yens, qu’il pourrait dépenser comme il le souhaitait. Remettant ses courses dans le panier, en essayant de ne pas obliger la logique qui disait de mettre le fragile dessus et le pas fragile tout au fond, l’adolescent se demanda ce qu’il pourrait faire avec l’argent restant…

Il n’en avait pas la moindre idée, sans doute allait-il juste ajouter cette somme à ses économies. D’ailleurs, ça lui rappelait qu’il fallait qu’il redemande à ses parents à propos d’avoir une carte de crédit. La dernière fois, ils avaient juste ignorer la question ce qui avait un peu énerver le jeune homme. Soupirant au souvenir, Mackenzy prit son panier dans une des mains et salua la caissière d’un sourire avant de se diriger vers la sortie. Jetant un œil à ses chaussures, qu’il faudrait vraiment qu’il nettoie pendant le week end, parce qu’elles étaient couvertes de terre…Il aperçut alors un billet de cent yens qui traînait par terre et se baissa pour le ramasser avant de le retourner dans tout les sens pour voir s’il était vrai.

« Lucky day ! »

S’écria t-il joyeusement, avant de se demander si cet argent n’appartenait pas à la personne de toute à l’heure. Si c’était le cas, il fallait qu’il le retrouve pour lui rendre, car garder ce billet était comme l’avoir volé du point de vue de Mackenzy. Sortant du magasin, il mit sa main en visière devant ses yeux et tourna sur lui-même pour avoir une chance d’apercevoir l’homme étrange, s’il était toujours dans les parages.

Lorsqu’il le vit, qui se rapprochait du magasin, il courut à sa rencontre, malgré le poids de son panier et le fait qu’il n’était pas très sportif. Le jeune homme s’arrêta à environ un mètre de l’autre personne et lui tendit le billet avec un petit sourire.

« Vous l’avez fait tomber dans le magasin monsieur(il en est pas sûr mais il pense que c'est à lui). Et encore désolé pour tout à l’heure…Je suis sincérement désolé de vous avoir dérangé, je recommençerait plus, promis! »

S'arrêtant enfin de parler(il ne se rend pas compte qu'il se répète u_u), Mackenzy leva la tête vers l'inconnu, ses yeux gris le fixant avec leur tristesse habituelle mais en plus, il y avait aussi de la curiosité dans le regard de l’adolescent, qui se demandait un peu comment l’autre personne allait réagir. Peut-être que l’homme allait juste prendre le billet et s’en aller ou bien lui adresserait-il la parole ? Pour l’instant c’était un mystère…

Makoto, après s'être soigneusement lavé les mains, était en train de marcher vers le Convini pour retrouver le garçon. Qui, d'ailleurs, était venu à sa rencontre en courant, avec son panier en osier, et s'arrêta devant lui. Le jeune lui tendit un billet de 100 yens. Etait-ce le sien ? Il ne savait pas. Alors, Koto, par réflexe, le prit, le regarda, surpris, ne s'y attendant pas. Finalement, après une bonne dizaine de secondes de bugg, il lui tendit en s'inclinant, et en répondant à ce que le garçon lui disait :

"Prends-le. Je suis désolé, je n'ai pas été adroit. Tu.... Tu n'as rien fait. Excuse-moi."

Cette fois, Makoto avait réussi à s'exprimer intelligiblement et correctement, ses phrases avaient le sens qu'il voulait leur donner.

"Je... Je m'appelle Makoto Oseki. Je m'excuse encore."

Koto s'inclina de nouveau pour se présenter. Il resta longtemps baissé, bas, en train de parler. Il avait manqué de respect au jeune garçon et s'en mordait les doigts. Il voulait se faire pardonner mais il ne savait pas trop comment. De plus, il avait l'air gentil, inoffensif, tout ce qu'il y a de plus adorable. Mais il semblait bien jeune. Genre entre 15 et 17 ans. Il était difficile de lui donner un âge, parce qu'il était petit, comme Makoto, que son style faisait assez enfantin, assez fun, mais son visage ne faisait pas très vieux ni trop jeune. Les cheveux décolorés, les percings et le maquillage n'arrangeaient rien.

Et là, soudain, une idée lui vint à l'esprit. Payer un verre au jeune homme pour se racheter, pour se faire pardonner. Makoto était terriblement maladroit avec les mots. Quand il était insultant ou méchant ce n'était pas forcément voulu. C'était ainsi. Il avait fait fuire plus d'une fille comme ça. Il n'avait pas l'aisance de son frère pour parler. Shuji.. Lui qui sortait tout le temps, qui n'aimait ni glander, ni la solitude, qui ramenait souvent un garçon la nuit... Un garçon... Oui, son frère était gay. Et Makoto le respectait, bien que cela l'eût surpris lorsqu'il l'avait appris.

Se tournant vers le garçon au panier, il proposa :

"Je peux t'offrir un verre pour me racheter ?"

Histoire de faire un peu plus connaissance aussi. Parce que cela ne faisait pas longtemps que Makoto et Shuji s'étaient installés. Le garçon avait beau être jeune, il pouvait être gentil et marrant, quelqu'un de bonne compagnie. Même si Makoto avait toujours du mal à se faire des amis, poser cette question avait recquiert un effort surhumain. Mais, inconsciemment, lorsqu'il lui avait posé cette question, il avait eu une pensée pour Shuji, se disant qu'il ferait mieux d'avoir des bones relations plutôt que des "copains" ou des sortes de gigolos, des gars que tu me dans ton lit pour une soirée, et après c'est fini. Makoto souhaitait réellement que son frère aie des fréquentations saines qui soient des amis.

[Désolé j'ai mis du temps u_u]

Regardant le billet tendu avec un certain étonnement, l’adolescent hésita pendant quelques secondes avant de le prendre. Il n’aurait jamais songé que cet homme allait lui donner…D’ailleurs la plupart des gens à qui il rendait service partaient souvent sans le remercier en y songeant bien…

Second choc, l’homme s’excusait, mais aux yeux de du garçon au regard triste c’était à lui-même de s’excuser, car s’il ne l’avait pas embêté en traînant le rayonnage peut-être que l’autre personne n’aurait pas fait tomber son argent…Ou pire, peut-être qu’il avait un rendez-vous important qu’il allait manquer à cause de Mackenzy…Attendant qu’il se redresse pour lui parler, sa mère lui ayant répété cent fois de regarder une personne lorsqu’on s’adressait à elle, le jeune homme fit un grand sourire avant de se présenter.

« Les gens m’appellent Mackenzy Tamaya, j’ai presque dix-huit ans, je vous dis ça parce que souvent les gens me disent plus jeune mais c’est pas le cas ! Je pense que c’était moi qui étais en tort dans le magasin tout de même…Alors ne vous excusez pas Oseki-san ! »

Il n’y arrivait pas, même avec tous les efforts possibles Mackenzy disait toujours « les gens m’appellent » et jamais « je m’appelle »…L’adolescent avait vraiment l’impression que sa vie n’était qu’un gigantesque mensonge parfois, mais après tout ses problèmes ne regardaient que lui ! Continuant de sourire, il songea que l’homme en face de lui devait être de six ou sept ans son aîné, mais il n’avait jamais été très doué pour donner l’âge d’une personne. Lui-même passait parfois pour un enfant de quinze ans alors qu’il allait bientôt fêter ses dix-huit.

Offrir un verre ? Tient, s’était la première fois qu’on proposait ce genre de choses à Mackenzy, en fait c’était même la première fois qu’une personne lui faisait réellement la conversation, parce qu’en général les gens ne le supportait pas bien longtemps. Surtout ceux que connaissaient ses parents, ces derniers ayant raconté à qui voulait l’entendre que leur fils était malade dans sa tête, et avec le temps l’adolescent avait cessé de démentir leurs propos. Il y avait des choses plus importantes que des rumeurs stupides dans sa vie…Réfléchissant quelques instants à la proposition de Makoto, il hocha finalement la tête tout en continuant de sourire.

« J'accepte votre offre Oseki-san! Je ne connais personne dans cette ville en plus! »

L’adolescent l’aurait bien appelé Makoto-san mais il trouvait ça impoli de parler ainsi alors qu’on ne connaissait même pas la personne. Mais il était assez content d’avoir rencontrer cette personne, même si son aîné semblait un peu étrange, faire de nouvelles connaissances était toujours une chose vraiment amusante aux yeux de Mackenzy.

[Tu m'excuses, mais j'avais commencé à répondre, une bonne trentaine de lignes, et mon E***** d'ordi a planté, alors j'ai pas le courage de tout retaper sur ce topic. J'vais répondre ailleurs et je verrai si j'aurai le temps pour répondre là aujourd'hui. J'm'excuse encore. J'ai trop la rage. Je pense que je répondrai demain. Désolée pour le retard. J'veux pas répondre maintenant sinon je vais bâcler et j'veux pas.]

» Mackenzy Tamaya